Hommage à un poete inconnu

Mon père François Portes a été fait prisonnier dès septembre 1914 lors des durs combats de la bataille de l'Aisne.
Il a été successivement dans les camps d'Erfürt, Soltau, Haassel, Rottorf, Soltau, Erfurt, Clingen et Langensalta où il se trouvait lors de l'armistice de 1918. C'est à Erfurt en 1914 qu'il a eu comme camarade de captivité un poète dont hélas le nom n'est pas parvenu jusqu'à nous. François a recopié un certain nombre de chansons et poésies que vous trouverez dans les pages suivantes. Les textes donnent une idée assez précise de ce qu'était la vie dans les camps et de l'état d'esprit des prisonniers.


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